
Partir ou revenir de Croatie, c’est souvent le rêve : plages sublimes, villes chargées d’histoire, eau turquoise… le bonheur ! Mais rien ne gâche plus vite les vacances qu’un refus d’embarquement à cause d’un surbooking. Eh oui, certaines compagnies vendent plus de billets qu’il n’y a de sièges. Résultat : des passagers laissés sur le tarmac. Ce que tu ne sais peut-être pas, c’est que tu peux réclamer jusqu’à 600 € d’indemnisation si ça t’arrive !
Le surbooking, c’est une technique bien connue pour booster les profits. Les compagnies aériennes misent sur le fait que certains voyageurs ne se présenteront pas, alors elles vendent plus de billets que de places dispo. Mais quand tout le monde débarque à l’heure… bam, certains se font éjecter du vol sans leur accord.
Si t’es recalé à l’embarquement à cause d’un surbooking en Croatie, t’es couvert par le règlement européen EC261. Ce texte te protège si ton vol part ou arrive dans un pays de l’UE (Croatie incluse). Voici ce que tu peux toucher :
250 € pour les vols de moins de 1 500 km
400 € pour les vols entre 1 500 km et 3 500 km
600 € pour les vols de plus de 3 500 km
Pour que ça marche, il faut remplir quelques conditions :
Tu avais un billet confirmé et t’as fait ton check-in à temps.
La compagnie ne t’a pas proposé une autre solution qui te convenait.
Tu as été refusé à l’embarquement contre ton gré (si t’as cédé ta place volontairement pour des avantages, ça compte pas).
Si t’as vécu ce genre de galère, voici comment mettre toutes les chances de ton côté pour récupérer ton dû :
Demande à la compagnie aérienne un document écrit qui confirme que t’as été refusé à l’embarquement à cause du surbooking.
Grâce à la réglementation EC261, t’as droit à :
Un autre vol vers ta destination finale.
Un remboursement complet si tu préfères annuler ton voyage.
Repas, boissons et hébergement gratuits si ton vol suivant est prévu le lendemain.
Conserve ton carte d’embarquement, billet et confirmation de réservation comme preuve de ton itinéraire.
Les compagnies aériennes peuvent faire traîner les choses si tu ne fais pas une réclamation officielle. Trouble Flight est là pour t’aider à récupérer l’indemnisation que tu mérites – et on s’occupe de tout à ta place !
Si tu te retrouves coincé à l’aéroport à cause d’un surbooking, voilà ce que tu peux faire :
En Croatie, y’a plusieurs aéroports internationaux. Checker les options autour peut te faire gagner un temps fou :
Aéroport de Zagreb (ZAG) : Le plus fréquenté, avec plein de connexions internationales.
Aéroport de Split (SPU) : Un gros hub pour les vols en Europe.
Aéroport de Dubrovnik (DBV) : Parfait pour le sud de la Croatie et les vols à l’étranger.
Aéroports de Rijeka (RJK) & Zadar (ZAD) : Plus petits, mais parfois avec des vols alternatifs bien pratiques.
Si t'es coincé à Dubrovnik et que ton vol est complet, pense à jeter un œil aux vols qui partent de l’aéroport de Split (à environ 3h30 de route). Tu peux y aller en bus, en voiture de location ou même en ferry, selon ton timing. Parfois, les compagnies aériennes réorientent les passagers vers un autre aéroport pour les faire arriver plus vite à destination.
Si t’as plusieurs heures à tuer, n’hésite pas à demander un accès au salon de l’aéroport pour patienter dans de meilleures conditions.
Pas mal d’assurances couvrent les frais imprévus liés aux galères de vol. Et si t’as payé avec une carte bancaire, vérifie si elle propose une protection voyage en cas de surbooking.
Croatia Airlines suit les règles du règlement EC261, mais les autres compagnies qui volent en Croatie — genre Ryanair, Lufthansa ou Turkish Airlines — peuvent gérer les passagers en trop à leur sauce. Mate bien leurs conditions, certaines offrent des compensations plus généreuses ou des petits bonus.
Non. Si t’acceptes les avantages proposés par la compagnie pour laisser ta place, tu renonces à toute autre indemnisation.
Le surbooking, c’est toujours sous le contrôle de la compagnie, donc elle ne peut pas invoquer des circonstances exceptionnelles (genre météo ou grève) pour esquiver l’indemnisation.
En Croatie, t’as en général jusqu’à trois ans pour déposer une demande d’indemnisation liée à un surbooking.
Si t’as été recalé à l’embarquement à cause d’un surbooking de vol en Croatie, tu pourrais toucher jusqu’à 600 €. Avec Trouble Flight, c’est super simple : tu nous donnes les infos, et on s’occupe de tout. Laisse pas les compagnies aériennes s’en tirer comme ça — récupère ce qui te revient de droit, dès maintenant !