
Tu savais que les compagnies aériennes, même celles qui volent en Géorgie, vendent parfois plus de billets que de places dispo ? Elles misent sur le fait que certains passagers ne viendront pas. Mais quand tout le monde se pointe... c’est la galère : certains restent cloués au sol. Si ça t’est arrivé à Tbilissi, Batoumi ou Koutaïssi, tu pourrais avoir droit à une indemnisation grâce au règlement européen EC261 ou d’autres lois locales.
En gros, elles utilisent des stats pour deviner combien de gens vont zapper leur vol. Ça leur permet de remplir les avions à fond et de faire plus de bénéfices. Mais quand leurs calculs foirent, c’est toi qui trinques. Bonne nouvelle : t’as des droits !
Oui, carrément ! Si t’as été refusé à l’embarquement à cause du surbooking sur un vol partant de Géorgie ou opéré par une compagnie européenne vers la Géorgie, tu peux réclamer jusqu’à 600 € selon la distance du vol :
250 € pour les vols jusqu’à 1 500 km
400 € pour les vols entre 1 500 km et 3 500 km
600 € pour les vols de plus de 3 500 km
Attention, faut pas avoir cédé ta place volontairement. Si t’avais ton billet et qu’on t’a laissé sur le carreau, ton demande d’indemnisation est légitime.
Si t’es bloqué à l’aéroport à cause d’un surbooking, suis ces conseils pour maximiser tes chances d’être indemnisé :
Les compagnies vont sûrement te proposer un autre vol ou un bon. Mais si tu acceptes, tu risques de perdre ton droit à une indemnisation.
Demande à la compagnie aérienne un petit mot écrit qui confirme que t’as été recalé à l’embarquement à cause du surbooking. C’est super utile pour appuyer ta réclamation.
Ne jette surtout pas ta carte d’embarquement, ton billet électronique, ni les mails ou messages de la compagnie. Tout ça peut servir.
Si t’as dû prendre un hôtel, un taxi ou même grignoter un truc à cause du bazar, garde tous les tickets. Tu peux te faire rembourser ces dépenses.
Si t’es à Tbilissi et que c’est la galère pour embarquer, jette un œil du côté de Batoumi ou Koutaïssi. Un petit trajet en train ou en navette et hop, t’as peut-être plus de chances de décoller avec une autre compagnie.
Fais ta réclamation chez Trouble Flight pour récupérer ce qui te revient.
La Géorgie devient un vrai carrefour pour les vols internationaux. Tbilissi gère la majorité du trafic, mais Batoumi et Koutaïssi voient aussi passer des milliers de voyageurs chaque jour. Résultat : le surbooking, c’est pas rare.
Aéroport international de Tbilissi (TBS) : C’est le plus fréquenté du pays, donc forcément, les vols pleins à craquer, ça arrive souvent. Si t’es bloqué, pense à checker les vols depuis Batoumi ou Koutaïssi.
Aéroport international de Batoumi (BUS) : Pas mal de vols saisonniers ici. Si ton vol est complet, demande à la compagnie s’il y a une autre option depuis Tbilissi ou Koutaïssi.
Aéroport international de Koutaïssi (KUT) : C’est le repaire des compagnies low-cost. Si le surbooking te met dans l’embarras, regarde ce qu’il y a à Tbilissi ou Batoumi.
Si t’es recalé à l’embarquement dans un aéroport, pense à jeter un œil aux vols qui partent d’un autre. La Géorgie, c’est pas bien grand, donc bouger d’un aéroport à l’autre, c’est plutôt simple :
Tbilissi → Batoumi : Le train te prend 5h, le bus 6h, ou sinon t’as un vol express de 50 minutes.
Tbilissi → Koutaïssi : Y’a une navette directe qui fait le trajet en 3h30.
Batoumi → Koutaïssi : En voiture ou en navette, compte environ 2h.
Changer d’aéroport peut vraiment te sauver la mise et te permettre de repartir plus vite, au lieu d’attendre des heures pour un siège qui se libère.
Le règlement EC261 te couvre si tu voyages depuis la Géorgie avec une compagnie européenne, ou si tu pars d’un aéroport européen vers la Géorgie. D’autres règles peuvent s’appliquer selon la compagnie et le trajet. Trouble Flight est là pour gérer tout ça à ta place, sans prise de tête avec les compagnies aériennes.
Ça dépend des lois locales, mais en général t’as jusqu’à trois ans pour faire ta demande. Cela dit, mieux vaut ne pas traîner.
On peut pas vraiment contrôler le surbooking, mais voilà quelques astuces pour limiter les risques :
Enregistre-toi tôt. Les derniers arrivés sont souvent les premiers à être éjectés.
Adhère aux programmes de fidélité. Les habitués ont souvent la priorité.
Réserve directement auprès de la compagnie. Les billets via des sites tiers sont parfois moins bien considérés.
Voyage léger. Si t’as pas de bagage en soute, c’est plus simple pour te recaser.
Un vol surbooké peut vite gâcher tes plans... mais pas besoin de te laisser faire ! Si t’as été refusé à l’embarquement en Géorgie, tu pourrais toucher jusqu’à 600 € d’indemnisation. Trouble Flight te simplifie la vie : envoie tes infos et récupère ce qui te revient !