
Prendre l’avion depuis ou vers l’Arménie, c’est une aventure à part entière : paysages à couper le souffle, histoire millénaire, et un secteur aérien en plein essor. Mais bon, faut pas se mentir, tout ne se passe pas toujours comme prévu… Et le surbooking, c’est un vrai casse-tête pour pas mal de voyageurs. Si t’as été recalé à l’embarquement à cause d’un vol surbooké en Arménie, sache que t’as des droits, même à l’international. Voici tout ce qu’il faut savoir pour réclamer ce qui te revient et éviter les galères la prochaine fois.
En gros, les compagnies vendent plus de billets que de sièges dispo, en espérant que certains passagers ne se pointent pas. Sauf que quand tout le monde débarque à l’aéroport, ça coince. Et là, c’est la loterie : certains restent sur le carreau. Les aéroports comme Zvartnots à Erevan (EVN) ou Shirak à Gyumri (LWN) sont souvent touchés, surtout pendant les périodes de rush.
Si t’es refusé à l’embarquement sans l’avoir choisi, tu peux peut-être toucher une indemnité grâce aux règles internationales, comme le règlement européen EC 261/2004. Même si l’Arménie n’est pas dans l’UE, si tu voyages avec une compagnie européenne ou que tu transites par un aéroport européen, t’es peut-être couvert.
Le montant dépend de la distance du vol :
250 € pour les vols jusqu’à 1 500 km
400 € pour les vols entre 1 500 et 3 500 km
600 € pour les vols de plus de 3 500 km
Si tu prends un vol en Arménie ou vers des pays voisins comme la Russie, la Géorgie ou l’Iran, certaines compagnies peuvent te proposer des bons de voyage ou d’autres formes de dédommagement. Mais franchement, ce qu’il faut viser en priorité, c’est le cash. C’est ton droit, et c’est souvent plus avantageux.
Si on t’empêche de monter à bord, voici les réflexes à avoir pour ne pas te faire avoir :
Ne saute pas sur les bons de voyage – Les compagnies adorent proposer des bons à la place d’argent. Mais t’as le droit de dire non et de demander du vrai cash.
Demande une preuve écrite – Exige un document qui confirme que c’est bien à cause du surbooking que t’as été recalé.
Regarde les autres options de vol – Si t’es à l’aéroport international de Zvartnots, pense à checker les vols depuis l’aéroport de Shirak à Gyumri. C’est à deux heures de route, mais ça peut valoir le coup.
Réclame ton indemnisation – Fais ta demande direct auprès de la compagnie ou passe par un service fiable comme Trouble Flight qui s’occupe de tout pour toi.
En Arménie, tu trouveras des compagnies comme Armenia Airways, Fly Arna, Wizz Air, LOT Polish Airlines et Air France. Chacune a ses règles, mais en général, elles suivent les standards du secteur. Les compagnies low-cost comme Ryanair ou Wizz Air vont souvent essayer de te refiler des bons, mais tiens bon : t’as droit à une vraie compensation.
Coincé à Erevan à cause d’un surbooking ? Pas cool. Mais t’as une porte de sortie : l’aéroport Shirak à Gyumri peut te sauver la mise. Voilà comment t’y rendre :
En voiture : Compte environ 2h en taxi ou voiture de location. Tranquille.
En train : Le train Erevan-Gyumri circule plusieurs fois par jour. Pratique et sympa.
En bus : Option économique, avec pas mal de départs. Parfait si t’as le temps.
Si t’es vers les frontières de l’Arménie, pense aussi à l’aéroport international de Tbilissi en Géorgie. C’est souvent une bonne option pour les vols vers l’Europe.
Parfois, les compagnies aériennes traînent des pieds ou disent non direct. Dans ce cas :
Monte le dossier à l’autorité aérienne – Selon le pays de la compagnie, tu peux déposer une plainte officielle.
Fais appel à un service spécialisé – Trouble Flight est là pour gérer les cas de refus d’embarquement. Ils se battent pour que tu récupères ce qui t’est dû.
Le surbooking, c’est pénible. Mais t’as pas à subir sans rien dire. Si t’as été refusé à l’embarquement en Arménie, bouge-toi ! Tu peux toucher jusqu’à 600 € d’indemnisation. Laisse pas les compagnies s’en tirer comme ça — dépose ta réclamation avec Trouble Flight et récupère ton argent !