
Si ton vol au départ de l’aéroport Ljubljana Jože Pučnik (LJU) a été surbooké, t’es clairement pas seul(e). Les compagnies vendent plus de billets qu’il n’y a de places, en espérant que certains passagers n’embarqueront pas. Sauf que parfois, tout le monde se pointe... et là, c’est la galère. Mais pas de panique : tu pourrais toucher jusqu’à 600 € grâce à la réglementation européenne CE 261.
Ben, c’est tout simplement une astuce de rentabilité. Les compagnies aériennes misent sur les absents... sauf que quand tout le monde est là, c’est le bazar. Résultat : des gens laissés à quai, des rendez-vous ratés, des vacances qui commencent mal.
La bonne nouvelle ? La loi est avec toi !
Si t’as été recalé à l’embarquement à cause d’un surbooking à Ljubljana Jože Pučnik, t’as peut-être droit à une indemnité prévue par la règle CE 261/2004. Elle protège les passagers dans toute l’UE.
Si l’accès à ton vol a été refusé contre ton gré, voici ce que tu peux obtenir :
250 € pour un vol de moins de 1 500 km
400 € pour un vol entre 1 500 km et 3 500 km
600 € pour un vol de plus de 3 500 km
Et en plus du cash, la compagnie doit te filer :
Un autre vol pour ta destination
De quoi boire et manger pendant l’attente
Une nuit à l’hôtel si ton nouveau vol est prévu le lendemain
Deux appels ou mails gratuits
Même si la compagnie aérienne te propose un autre vol, t’as toujours droit à une indemnisation financière.
Si ton vol au départ de Ljubljana est surbooké et que tu dois absolument partir, pense à décoller depuis l’aéroport Marco Polo de Venise (VCE) ou l’aéroport Franjo Tuđman de Zagreb (ZAG). Les deux sont à quelques heures de route et t’offrent peut-être des options plus pratiques.
Aéroport de Venise (VCE) – Environ 2h30 en voiture ou en bus
Aéroport de Zagreb (ZAG) – Environ 1h30 en voiture ou avec des navettes directes
Avant de dire oui à une compensation proposée par la compagnie, regarde si tu peux prendre un vol depuis un de ces aéroports. Certaines compagnies remboursent même les frais de transport.
Si on t’a refusé l’embarquement, voici ce qu’il faut faire pour récupérer ce que tu mérites :
Les compagnies proposent souvent des bons ou des réductions à la place de l’argent. Si t’es pas sûr de pouvoir te passer de l’argent, ne prends pas le bon—il vaut souvent moins que ce que la loi te garantit.
Demande au personnel une attestation écrite confirmant que ton vol était surbooké et que tu n’as pas pu embarquer. Tu en auras besoin pour ta réclamation.
Conserve ton carte d’embarquement, la confirmation de réservation, et tous les reçus liés à tes dépenses pendant l’attente d’un autre vol.
Essaie notre outil en ligne gratuit pour savoir si t’as droit à une compensation – ça prend quelques secondes, montre en main !
Plutôt que de perdre ton temps avec les excuses bidon des compagnies aériennes, laisse Trouble Flight gérer ça pour toi. Leur équipe est experte pour récupérer des indemnités en cas de surréservation.
Les compagnies tentent souvent d’esquiver leurs responsabilités. Voilà comment répondre à leurs arguments les plus courants :
« C’était un problème technique. » → Les soucis techniques, c’est leur affaire ! Donc oui, t’as quand même droit à une compensation.
« On vous a proposé un autre vol. » → Même si t’as accepté, tu peux réclamer une indemnité.
« Ce sont des circonstances exceptionnelles. » → La surréservation n’a rien d’exceptionnel. C’est leur stratégie, point final.
Si la compagnie refuse de payer, laisse-nous prendre le relais. On se bat pour récupérer ton argent !
Plein de passagers ont obtenu gain de cause après avoir été recalés à l’embarquement à Ljubljana Jože Pučnik. Voici quelques exemples concrets :
Andrej, un entrepreneur slovène, devait aller à Francfort pour présenter un projet à un client. Mais il est resté bloqué à LJU à cause d’une surréservation et est arrivé avec un jour de retard. Trouble Flight a pris l’affaire en main et il a touché 400 €.
Une famille de quatre personnes s’est vu refuser l’embarquement sur son vol pour Paris. Et pourtant, les billets avaient été réservés des mois à l’avance ! Heureusement, grâce au règlement EC 261, chacun a touché 250 €, soit un joli total de 1 000 € de dédommagement.
Un étudiant qui devait voyager de Ljubljana à Amsterdam a été éjecté de son vol... mais a réussi à choper un billet à la dernière minute depuis l’aéroport de Zagreb (ZAG). Même avec ce plan B, il a eu droit à 250 € de compensation. Pas mal, non ?
Beaucoup de compagnies aériennes traînent les pieds ou font carrément les morts, en espérant que les passagers lâchent l’affaire. Mais avec Trouble Flight, la plupart des dossiers sont réglés en 8 à 12 semaines. Si la compagnie fait du zèle, on passe à la vitesse supérieure : autorités compétentes ou action en justice, sans hésiter.
Et le meilleur ? Vous ne payez rien tant qu’on n’a pas gagné !
Checkez les aéroports voisins (Venise ou Zagreb) pour dégoter un plan B.
Refusez les bons cadeaux s’ils ne correspondent pas à ce que vous avez vraiment le droit de recevoir.
Gardez tous vos documents de voyage et exigez une preuve écrite du surbooking.
Utilisez le checker gratuit de Trouble Flight pour savoir si vous pouvez toucher jusqu’à 600 €.
Être recalé à l’embarquement à cause du surbooking, c’est la galère. Mais vous n’avez pas à trinquer financièrement ! Demandez votre indemnisation dès maintenant !