Vol retardé avec ITA Airways ? Voici quoi faire

 

Vol retardé avec ITA Airways ? Voici quoi faire

Alors, ton vol avec ITA Airways – le tout nouveau transporteur national italien – n'a pas décollé à l'heure ? Pas de panique ! ITA Airways (Italia Trasporto Aereo) a commencé à voler fin 2021 en reprenant le flambeau d'Alitalia. La compagnie est encore en phase de rodage, donc les retards, ça arrive. Avant de râler et d'envoyer à tes potes un message du style « SOS bloqué à Rome », voyons ce que ça implique et ce que tu peux faire – entre connaître tes droits et récupérer jusqu'à 600 €.

ITA Airways, c’est quoi ?

ITA Airways, c’est la nouvelle compagnie aérienne italienne. Elle a été fondée en 2020 pour remplacer Alitalia après sa faillite. Elle a repris ses couleurs, ses lignes, et a officiellement lancé ses premiers vols le 15 octobre 2021. Aujourd’hui, ITA dessert plusieurs destinations en Europe et quelques vols long-courriers. Comme elle a récupéré la flotte et le personnel d’Alitalia, certains voyageurs l’appellent encore, avec affection… ou pas, « la nouvelle Alitalia ».

Forcément, en tant que jeune compagnie, ITA a encore des ajustements à faire. Mais bon, c’est une compagnie européenne, et ça c’est une bonne nouvelle : si ton vol ITA est retardé en Europe, les droits des passagers européens s’appliquent à toi. On t’explique tout juste après.

Pourquoi les vols sont retardés

Attendre quelques minutes dans un salon d’aéroport peut sembler une éternité – surtout quand personne ne te dit pourquoi. Les retards peuvent arriver avec n’importe quelle compagnie, y compris ITA, et il y a plusieurs raisons possibles. Voici les plus courantes :

  • Problèmes météo : Le climat en Europe est parfois capricieux. Brouillard épais, orages, neige dans les Alpes, ou même tempêtes estivales autour des aéroports méditerranéens peuvent clouer les avions au sol ou rendre le contrôle aérien prudent. Merci mère nature.

  • Embouteillage du contrôle aérien : Les gros aéroports comme Rome ou Milan peuvent être saturés. Si trop d'avions veulent décoller ou atterrir en même temps, le contrôle aérien étale les vols. Et parfois, les grèves ou l'espace aérien des pays voisins viennent compliquer encore plus le trafic.

  • Pépins techniques ou maintenance : Les avions doivent passer des vérifications régulières. Si un appareil d'ITA a un souci mécanique, même mineur, impossible de partir avant que ce soit réglé. La sécurité avant tout ! Résultat : quelques minutes de retard... voire plusieurs heures.

  • Planning des équipages : Les pilotes et hôtesses/stewards ont des limites horaires légales. Si le vol précédent a pris du retard, l'équipage peut arriver en fin de service, ce qui oblige à trouver une autre équipe ou à décaler le vol. Et puis, parfois, ITA manque tout simplement de personnel.

  • Avion en retard : Si l’appareil qui doit vous emmener arrive en retard de son vol précédent, tous les départs suivants prennent du retard aussi. Effet domino garanti !

  • Problèmes liés à l’aéroport : Travaux sur les pistes, alertes de sécurité, déplacements de VIP (genre avions militaires)… Autant de raisons qui peuvent temporairement bloquer un aéroport.

  • Grèves et politique : En Italie et en Europe, il n'est pas rare que les contrôleurs aériens, les bagagistes ou même le personnel des compagnies aériennes fassent grève. Ajoutez à ça des contrôles renforcés à la douane pendant les saisons chargées ou les sommets politiques, et bonjour l’attente…

  • C’est frustrant, surtout si ça bouleverse vos vacances ou votre réunion. Mais gardez à l’esprit qu’une bonne partie de ces raisons (comme la météo ou les soucis techniques) sont considérées comme des “circonstances extraordinaires”. Si la compagnie prouve qu’elle ne pouvait pas éviter le retard, elle peut esquiver les indemnisations. Mais tous les retards ne sont pas hors de contrôle…

    Connaissez vos droits : Indemnisation UE (Règlement 261/2004)

    Bonne nouvelle ! Comme ITA est une compagnie aérienne européenne et que ton vol est en Europe (ou à destination/en provenance de l’Europe), le règlement EU 261/2004 s’applique. En gros, ça veut dire que si ton vol tourne au fiasco, tu pourrais avoir droit à une indemnisation. Selon les règles européennes, si tu arrives à ta destination finale avec 3 heures ou plus de retard et que ce n’est pas dû à un problème exceptionnel, tu peux réclamer un remboursement. Combien ? Tout dépend de la distance du vol, mais ça va de 250 € à 600 € par passager.

    • Vols courts (≤1500 km) : 250 € si tu arrives avec 3+ heures de retard.

    • Vols moyens (dans l’UE >1500 km ou autres vols entre 1500 et 3500 km) : 400 €.

    • Longs courriers (>3500 km) : 600 €.

    Le jackpot (600 € max), c’est pour les longs trajets transcontinentaux. (La plupart des vols ITA en Europe tombent dans la tranche 250 €–400 €.) Autre point à savoir : si ton retard dépasse les 5 heures, la loi européenne te permet d’annuler ton vol et de récupérer l’intégralité du prix du billet. Pratique si ton vol ITA s’éternise—tu pourrais carrément réserver avec une autre compagnie ou trouver un autre moyen de transport.

    Et en attendant, la compagnie est obligée de t’assurer un minimum de confort. Les règles européennes imposent qu’en cas de gros retard, ITA te fournisse des repas, boissons, et même un hébergement et le transfert si besoin. Ils ne te le diront pas toujours, mais reste attentif : si le retard traîne, n’hésite pas à demander des bons de repas ou un hôtel à un agent ITA. (Beaucoup l’ignorent, mais ce droit existe vraiment.) Pense aussi à garder tes reçus si tu achètes de l’eau ou un snack—ça peut être remboursé après coup.

    Attention : les “circonstances extraordinaires” (comme une tempête soudaine, une éruption volcanique ou une guerre) peuvent annuler l’indemnisation. Mais les retards classiques—un problème technique ou un avion surbooké—comptent et doivent être compensés.

    Vol retardé ITA Airways : Que faire maintenant ?

    Bon, ton vol ITA est en retard. Plein de questions te viennent en tête : Que faire ? Je suis bloqué ? Je vais arriver à temps ? Pas de panique, voici quelques conseils bien utiles pour gérer la situation :

    1. Va parler au personnel de la compagnie, mais reste cool. Direction le comptoir ITA Airways ou le guichet à la porte d'embarquement. Demande-leur ce qu'il se passe et ce qu'ils comptent faire. Est-ce qu'ils te réservent un siège sur le prochain vol ITA ? Y a-t-il un repas ou un hôtel prévu si ça traîne toute la nuit ? Un peu de politesse peut faire des miracles : parfois, ils peuvent te caler en stand-by sur un vol plus tôt ou au moins confirmer ton nouvel horaire de départ.

    2. Connais tes droits sur le bout des doigts. Si le retard dure quelques heures, la compagnie doit te fournir des snacks ou des bons. Si ça s'éternise et que tu dois passer la nuit sur place, tu devrais obtenir une chambre d'hôtel sans frais (surtout si ton vol est au départ ou à destination de l'UE). Si rien n’est proposé, rappelle-leur gentiment les règles européennes (ça peut rafraîchir leur mémoire !). Pense aussi à garder des preuves : photos des écrans d'affichage, cartes d'embarquement, emails concernant le retard… ça pourra servir si tu réclames une indemnisation plus tard.

    3. Envisage des plans B. Pendant que tu attends, jette un œil aux autres options possibles. ITA peut-elle te réserver un vol via une autre ville ? Y a-t-il des vols avec une autre compagnie ? Peut-être qu’un train est plus rapide (si tu voyages en Italie ou vers une destination proche). Par exemple, si tu devais aller de Rome à Paris, un train rapide jusqu'à Milan et un vol de là-bas pourrait sauver ta journée. Pense aussi aux autres aéroports à proximité qui pourraient avoir des vols plus intéressants (Milan Linate au lieu de Malpensa, ou même Venise, pourquoi pas).

    • Vols alternatifs : Sors ton téléphone et fouille les applis de vols ou les sites des compagnies. Parfois, tu peux te rebooker toi-même sur une autre compagnie (ça vaut le coup d’en parler à l’agent).

    • Les trains en Europe : Franchement, le réseau ferroviaire européen est top. Rome–Florence–Milan ? Un jeu d’enfant avec le train à grande vitesse. Si ton retard n’est pas trop long, sauter dans un train peut être plus rapide que poireauter à l’aéroport.

    • Autres aéroports : Si c’est le bazar à Rome-Fiumicino, regarde si un train pour Milan ou Venise peut te sauver la mise pour un autre vol. (Oui, ça ajoute du trajet, mais si ton attente se compte en heures, ça peut même être plus rapide.)

    Un peu de débrouillardise et ce qui devait être un énorme retard devient juste un petit détour.

    4. Réclame ton indemnisation. Une fois enfin arrivé (que ce soit le lendemain ou avec un autre vol), c’est le moment de demander ton dû. Selon la législation européenne, tu peux prétendre à une indemnité de 250 à 600 €. Il te faudra tes infos de vol (dates, numéros) et des preuves du retard (cartes d’embarquement, notifications de retard, reçus des dépenses). Tu peux le faire toi-même en contactant le service client d’ITA, mais c’est parfois un vrai casse-tête administratif. C’est là que Trouble Flight peut intervenir (plus d’infos juste après). Ils gèrent les emails et les délais pour toi, histoire de t’éviter les galères.

    En suivant ces conseils, tu optimises une situation compliquée. Et même si ton voyage s’est rallongé de quelques heures ou jours, au moins tu ne perds pas totalement au change – tu récupères quelque chose.

    Astuces rapides & hacks

    • Garde une trace de tout : Prends une photo du panneau d’affichage montrant le retard ou demande une preuve écrite au personnel de la porte d’embarquement. Ça servira plus tard pour justifier ton réclamation.

    • Demande des repas ou un hébergement : Même si tu dois attendre longtemps à l’aéroport, va voir un agent et demande ce qui est prévu. On ne te le rappellera pas forcément, donc autant vérifier.

    • Renseigne-toi sur la règle EU 261 : Connaître tes droits (comme la règle d’annulation après 5 heures) te donne un vrai pouvoir. Une petite recherche sur ton téléphone peut te fournir des arguments si besoin.

    • Reste flexible : Parfois, dépenser un peu plus (comme acheter un billet de train ou partir d'un autre aéroport) peut te faire gagner des heures. Pose-toi la question : « Quelle est la façon la plus rapide de me rapprocher de mon plan ? »

    • Assurance voyage ? Si tu en as une, vérifie ce qu'elle couvre en cas de retard. Souvent, elle prend en charge les repas et les petites dépenses, mais pas forcément la grosse indemnisation de 600 €.

    Pourquoi Trouble Flight est la solution

    Gérer un litige avec une compagnie aérienne (surtout après le voyage) peut vite devenir un cauchemar. C'est pour ça que beaucoup de voyageurs préfèrent faire appel à un spécialiste des réclamations comme Trouble Flight. Zéro tracas, zéro frais si tu ne gagnes pas, ils s'occupent de tout le travail chiant pour toi. Voilà comment ça marche :

    • Simplicité totale : Tu leur donnes les infos sur ton vol et ce qui s'est passé. Leur équipe contacte ITA Airways pour toi, remplit les formulaires et négocie à ta place. Tu évites la paperasse et les galères administratives.

    • Aucun frais à l'avance : Tu ne paies Trouble Flight que s'ils réussissent à récupérer de l'argent pour toi. C'est du no-win, no-fee, autrement dit, si tu ne gagnes rien, tu ne paies rien.

    • Commission transparente : Si ça marche, Trouble Flight prend 25 % de l’indemnisation (plus TVA). Par exemple, si tu récupères 400 €, leur commission sera de 100 € + TVA. En cas de procédure judiciaire (très rare, mais possible), leur part passe à 50 % (TVA incluse). Mais dans tous les cas, tu ne payes qu’après avoir touché ton argent, donc aucun risque pour toi.

    • Experts du droit européen : Ils connaissent les moindres subtilités du règlement 261/2004 et repèrent des détails que tu pourrais oublier (comme l’enchaînement des vols ou le calcul exact du retard).

    • Couvre toutes les situations : Trouble Flight, ce n'est pas juste pour les retards ! Si ton vol ITA a été annulé, si on t’a refusé l’embarquement parce qu’il était surbooké, ou si tu as raté une correspondance et que tu es arrivé super tard, ils peuvent s’occuper de ta réclamation. En gros, si la loi européenne dit que tu as droit à une indemnisation ou une assistance, Trouble Flight prend le relais pour toi.

    En clair, utiliser Trouble Flight, c’est comme embaucher un expert sympa qui se bat contre la compagnie aérienne pendant que toi, tu te détends. Beaucoup de clients les recommandent après s’être dit : “Mon vol était une galère, je suis content que quelqu’un s’en occupe !” Sur leur site, ils précisent d’ailleurs que les voyageurs peuvent réclamer jusqu’à 600 € par passager. (Et franchement, pas tout le monde est au courant de ça !)

    Le truc à retenir : si tu obtiens une indemnisation, c’est la compagnie aérienne qui paie. La commission de Trouble Flight est déduite de ce paiement, pas de ton porte-monnaie. Vois ça comme un petit pourcentage en échange d’un gros boulot fait pour toi.

    D’autres galères de voyage (Annulations, Surbooking, Correspondances manquées)

    Puisqu’on en parle, petit point rapide sur les autres soucis de vol. Les mêmes règles du règlement européen 261/2004 s’appliquent :

    • Vols annulés : Si ITA annule ton vol sans préavis, tu as droit à une indemnisation et au choix entre un remboursement ou un réacheminement. Là encore, Trouble Flight peut gérer ça pour toi.

    • Refus d’embarquement (surbooking) : Les compagnies aériennes surbookent souvent leurs vols. Si tu avais un billet confirmé et qu’ITA te demande de céder ta place (ou te refuse carrément), tu peux réclamer une indemnisation entre 250 € et 600 €, plus une aide pour être réacheminé.

    • Correspondances ratées : Si tu as réservé des vols ITA sur un seul itinéraire et qu’un retard t’a fait louper ta correspondance (surtout si c’était sur le même billet), c’est généralement considéré comme un retard sur l’ensemble du trajet. Du coup, tu pourrais avoir droit à une indemnisation pour ce temps perdu à l’arrivée.

    La bonne nouvelle pour toi ? Trouble Flight gère tout ça. Pas besoin de te prendre la tête avec des formulaires compliqués ou de deviner quelle règle s’applique. Si ton voyage prend une tournure chaotique – retard ou autre – ils peuvent souvent t’aider à récupérer une indemnisation ou un remboursement.

    Conclusion

    On sait que voir un vol ITA Airways retardé, c’est la galère. Mais avec ce guide, on espère rendre ça un peu moins pénible. Tu n’es pas juste coincé à grignoter un sandwich fade en attendant – tu as des droits ! Les régulations européennes sont de ton côté et tu pourrais repartir avec jusqu’à 600 € par passager si ton vol arrive avec plus de 3 heures de retard. Et si ça traîne plus de 5 heures, rappelle-toi que tu peux même annuler et te faire rembourser. Pendant ce temps, les compagnies aériennes sont censées te fournir de quoi manger et t’assurer un minimum de confort.

    Si gérer tout ça te semble trop compliqué, souviens-toi : Trouble Flight est là pour simplifier les choses. Pense à eux comme ton acolyte anti-retard – ils parlent la langue des compagnies aériennes pour que tu n’aies pas à le faire. Leur service fonctionne sur le principe du "pas de succès, pas de frais" – ils ne prennent qu’une commission sur ce que tu touches. Ça enlève pas mal de stress.

    Alors, la prochaine fois que tu patientes à une porte d’embarquement ITA, garde ça en tête : tu n’es pas juste en attente, tu as une carte à jouer ! Reste zen, suis les conseils ci-dessus, et si tu préfères éviter les démarches, laisse Trouble Flight s’en occuper en arrière-plan. Bon voyage – et croisons les doigts pour que tes prochains vols soient à l’heure (mais sinon, tu sais quoi faire) !

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    Ce que nos clients disent de nous

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    taux moyen
    Dumitru S.
    Dumitru S.
    06/06/2024
    Très satisfait !!!
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    Radu C.
    Radu C.
    20/05/2024
    J'ai reçu la compensation par troubleflight que je n'espérais même pas ...
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    Frangu G.
    Frangu G.
    18/04/2024
    Merci pour les services reçus de la société, vous êtes fff sérieux dan ...
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    Jenny C.
    Jenny C.
    22/03/2024
    Gentillesse et précision.
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